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Note : la traduction française utilise une formulation dans les phrases qui rend les dialogues moins impactant. Tant pis, mais le jeu se savoure en anglais.

Oneshot n'est pas un jeu qui se regarde ou se raconte. Ce n'est pas non plus un jeu qui se joue. Au contraire, c'est un jeu qui se vit.

Oneshot est court. Quoi, 5-6 heures sans trop forcer ? Pourtant, il ne perd pas de temps à construire l'univers, les personnages... Et les rendre inoubliables.

Oneshot est simple. Une vingtaine d'énigmes assez basiques, mais certaines font preuve d'une ingéniosité rarement vue, rendant le jeu mémorable.

Il en est de même pour l'histoire : Le monde a perdu sa lumière, mais Niko possède l'objet qui permet de la restaurer et vous devez l'aider à l'amener au centre de ce monde. Le tout raconté au travers de visuels en pixel art très jolis et d'une sublime musique.

L'ensemble élève Oneshot au rang d'Art : un jeu marquant en progressant, une expérience inoubliable après l'avoir fini.. Woah...

Oubliez l'idée d'y jouer sur Steam Deck/Linux : la version native est trop cassée pour fonctionner correctement (quand elle arrive à se lancer), tandis qu'utiliser Proton ne réglera pas tout. C'est Windows ou rien.

[h1]Pourquoi avoir attendu aussi longtemps avant d'y jouer...[/h1] [hr][/hr] [i]Note : la traduction française utilise une formulation dans les phrases qui rend les dialogues moins impactant. Tant pis, mais [b]le jeu se savoure en anglais.[/b][/i] Oneshot n'est pas un jeu qui se regarde ou se raconte. Ce n'est pas non plus un jeu qui se joue. Au contraire, c'est [b]un jeu qui se vit.[/b] Oneshot est court. Quoi, [b]5-6 heures sans trop forcer[/b] ? Pourtant, il ne perd pas de temps à construire l'univers, les personnages... Et les rendre [b]inoubliables[/b]. Oneshot est simple. Une vingtaine d'énigmes assez basiques, mais certaines font [b]preuve d'une ingéniosité rarement vue[/b], rendant le jeu mémorable. Il en est de même pour l'histoire : Le monde a perdu sa lumière, mais Niko possède l'objet qui permet de la restaurer et vous devez l'aider à l'amener au centre de ce monde. Le tout raconté au travers de [b]visuels en pixel art très jolis et d'une sublime musique.[/b] L'ensemble élève Oneshot au rang d'Art : [b]un jeu marquant en progressant, une expérience inoubliable après l'avoir fini.[/b]. Woah... Oubliez l'idée d'y jouer sur Steam Deck/Linux : la version native est trop cassée pour fonctionner correctement (quand elle arrive à se lancer), tandis qu'utiliser Proton ne réglera pas tout. C'est Windows ou rien.