" Nous avons tous des coeurs meurtris. C'est le rapport à la souffrance qui nous différencie.
L'un se plaint, se morfond ou se complaît dans la blessure. L'autre pardonne et guérit, gardant le coeur ouvert à la vie."

« Pour récolter demain, il faut s'aimer aujourd'hui.»

« Le bonheur se mesure, non à ce que tu as acquis, mais à qui tu es devenu.»

« L'art de l'élégance. Humilité, harmonie et sobriété.»

« Pour rêver, il suffit d'ouvrir les yeux.»

« Apprends de la vie ou attends qu'elle ne t’apprenne. »

« Saisir le Rien et le grand Tout, le mystère du Vivant.»

« Je suis enceinte de la vie. Chaque jour, je m'octroie de réaliser un désir fou. Ma sagesse au quotidien. Dimanche, je m'abstiens.»

« Je suis une bohémienne, nomade des étoiles, une voyageuse de l'amour.»

« Je m'aime à tout vent. Je suis une graine à saisir.»

« Je désire être aimée par celui qui saura me saisir, sans vouloir me prendre.»

« Je ne suis pas une femme à prendre, je suis une femme qui se donne.»

« L'enfant est celui qui embrasse son âme.»

« La sagesse vient avec la congruence de l'être. »

« J'apprends de la Vie en longeant le gouffre.»

« L'homme a un sexe apparent, un cycle intérieur. La femme a un sexe intérieur, un cycle apparent. La femme connaît les mystères de la Vie, car elle peut suivre sa trace grâce à son cycle. Homme, cherche ton cycle intérieur, tu connaîtras les mystères de la Vie»

« Le pourquoi t'aide à comprendre. Le Comment t'aide à changer.»

« La connaissance technique ou l'appauvrissement de l'âme. »

« Tout ce que tu ne trouves pas encore à l'intérieur de toi, tu le cherches inlassablement à l'extérieur. »

« La dérive des progrès technologiques en matière de communication, c'est quand les gens sont frénétiquement connectés au monde et dramatiquement déconnectés d'eux mêmes.»

« Beaucoup de saints - ascètes des plaisirs terrestres, en se coupant d'une partie d'eux-mêmes, à savoir leurs désirs, leurs plaisirs, leur belle animalité, leur sensualité - ont choisi de monter plus vite au ciel. »

« Les choses ne dépendent que du regard que sur elles, tu poses.»