Instalar Steam
iniciar sesión
|
idioma
简体中文 (Chino simplificado)
繁體中文 (Chino tradicional)
日本語 (Japonés)
한국어 (Coreano)
ไทย (Tailandés)
български (Búlgaro)
Čeština (Checo)
Dansk (Danés)
Deutsch (Alemán)
English (Inglés)
Español - España
Ελληνικά (Griego)
Français (Francés)
Italiano
Bahasa Indonesia (indonesio)
Magyar (Húngaro)
Nederlands (Holandés)
Norsk (Noruego)
Polski (Polaco)
Português (Portugués de Portugal)
Português - Brasil (Portugués - Brasil)
Română (Rumano)
Русский (Ruso)
Suomi (Finés)
Svenska (Sueco)
Türkçe (Turco)
Tiếng Việt (Vietnamita)
Українська (Ucraniano)
Informar de un error de traducción
Le Poète suscite avec un glaive nu
Son siècle épouvanté de n’avoir pas connu
Que Ia mort triomphait dans cette voix étrange!
Eux, comme un vil sursaut d’hydre oyant jadis l’ange
Donner un sens plus pur aux mots de Ia tribu,
Proclamèrent três haut le sortilège bu
Dans le flot sans honneur de quelque noir mélange.
Du sol et de Ia nue hostiles, ô grief!
Si notre idée avec ne sculpte un bas-relief
Dont Ia tombe de nous éblouissante s’orne,
Calme bloc ici-bas chu d’un desastre obscur,
Que ce granit du moins montre à jamais sa borne
Aux noirs vols du Blasphème épars dans le futur.
La vie est éternelle dans sa durée