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Coca languit, son cœur en suspens,
Un murmure d'amour, timide, s'étend,
Vers Chacha, sa muse, sa douceur à défendre.
Dans les volutes sucrées de ses pensées,
Il façonne des rêves, des poèmes en secret,
Chacha, éblouissante, comme un songe parfait,
Son amour, en silence, il voudrait lui déclarer.
Mais chaque mot se perd dans l'éther de l'air,
Comme des bulles éphémères, hésitantes,
Il craint le refus, la réponse tranchante,
Alors, il se tait, laissant son cœur se taire.
Pourtant, dans chaque effervescence de son être,
Coca sent brûler cette flamme indicible,
L'amour qu'il porte à Chacha, invisible,
Mais vibrant, intense, comme une promesse peut-être.
Alors, dans l'ombre douce de la nuit étoilée,
Coca contemple Chacha, silencieux,
Espérant qu'elle entende, dans ce silence précieux,
Les battements de son cœur, à jamais liés.