Phasmophobia est le genre de jeu qui te marque dès la première partie. Pas besoin de tonnes d’effets spéciaux ou de jumpscares forcés pour te tenir en haleine : ici, tout repose sur une ambiance oppressante et un gameplay intelligent.

L’atmosphère est le cœur du jeu. Chaque carte, qu’il s’agisse d’une maison de banlieue ou d’un asile sinistre, te met mal à l’aise dès que tu y entres. Le silence est pesant, brisé seulement par des sons étranges qui te font douter de tout. Et quand le fantôme commence à s’énerver, c’est une montée d’adrénaline garantie.

En coop, c’est là où le jeu brille. Il y a toujours le pote courageux qui s’aventure trop loin et celui qui hurle dès qu’une lumière clignote. Les outils, comme la spirit box ou le thermomètre, ajoutent une touche stratégique, mais au final, c’est le travail d’équipe et le sang-froid qui font la différence… ou pas. Et quand quelqu’un se sacrifie pour finir une enquête, c’est le genre de moment qui te reste en mémoire.

Cela dit, après un certain nombre d’heures, le jeu perd un peu de son effet de surprise. La peur laisse place à une sorte de tension constante, et on finit par le voir comme un puzzle angoissant à résoudre. Quelques sursauts me prennent encore parfois par surprise, mais globalement, l’expérience devient plus méthodique qu’effrayante. Ce n’est pas forcément un défaut : au contraire, ça montre à quel point le gameplay reste captivant, même une fois la peur apprivoisée.

Il y a quelques défauts : certaines animations ou mécaniques pourraient être affinées, et certaines cartes tournent parfois à un FPS slideshow (merci l’optimisation), mais ça n’empêche pas de savourer l’expérience. Les développeurs continuent d’ajouter du contenu, ce qui est toujours un bon point.

En bref, Phasmophobia est plus qu’un jeu d’horreur, c’est une aventure unique à partager entre amis. Préparez-vous à crier, à rire, et à vérifier sous votre lit après avoir joué.

Note : 9/10 – Peur garantie au début, réflexion angoissante avec l’expérience.

Phasmophobia est le genre de jeu qui te marque dès la première partie. Pas besoin de tonnes d’effets spéciaux ou de jumpscares forcés pour te tenir en haleine : ici, tout repose sur une ambiance oppressante et un gameplay intelligent. L’atmosphère est le cœur du jeu. Chaque carte, qu’il s’agisse d’une maison de banlieue ou d’un asile sinistre, te met mal à l’aise dès que tu y entres. Le silence est pesant, brisé seulement par des sons étranges qui te font douter de tout. Et quand le fantôme commence à s’énerver, c’est une montée d’adrénaline garantie. En coop, c’est là où le jeu brille. Il y a toujours le pote courageux qui s’aventure trop loin et celui qui hurle dès qu’une lumière clignote. Les outils, comme la spirit box ou le thermomètre, ajoutent une touche stratégique, mais au final, c’est le travail d’équipe et le sang-froid qui font la différence… ou pas. Et quand quelqu’un se sacrifie pour finir une enquête, c’est le genre de moment qui te reste en mémoire. Cela dit, après un certain nombre d’heures, le jeu perd un peu de son effet de surprise. La peur laisse place à une sorte de tension constante, et on finit par le voir comme un puzzle angoissant à résoudre. Quelques sursauts me prennent encore parfois par surprise, mais globalement, l’expérience devient plus méthodique qu’effrayante. Ce n’est pas forcément un défaut : au contraire, ça montre à quel point le gameplay reste captivant, même une fois la peur apprivoisée. Il y a quelques défauts : certaines animations ou mécaniques pourraient être affinées, et certaines cartes tournent parfois à un FPS slideshow (merci l’optimisation), mais ça n’empêche pas de savourer l’expérience. Les développeurs continuent d’ajouter du contenu, ce qui est toujours un bon point. En bref, Phasmophobia est plus qu’un jeu d’horreur, c’est une aventure unique à partager entre amis. Préparez-vous à crier, à rire, et à vérifier sous votre lit après avoir joué. Note : 9/10 – Peur garantie au début, réflexion angoissante avec l’expérience.