34
Products
reviewed
85
Products
in account

Recent reviews by Sam Suphit

< 1  2  3  4 >
Showing 1-10 of 34 entries
1 person found this review helpful
2.9 hrs on record
une daube!
Posted 12 January.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
No one has rated this review as helpful yet
96.7 hrs on record (22.0 hrs at review time)
The last stand est une licence bien connu de certains mais malheureusement pas pour moi. Aftermath est le dernier sorti de cette série et a l’air d’être intéressant mais qu’en est-il réellement ? A quoi doit-on s’attendre ? Nous allons voir tout cela en détail. Ici, l’équipement n’est qu’une arme et des accessoires comme des grenades ou du soin. Vous contrôlez votre personnage en vue de dessus. Votre but est de survivre et de traverser les zones infestées de zombies. Vous devrez récolter les ressources présentes sur la map ( l’essence ! ) en prenant toutes les précautions requise pour ne pas vous faire manger.
Pour les novices du genre, vous allez mourir très souvent !Parlons du Gameplay, la première chose qui risque de vous embêter est le système de visée qui n’est pas du tout intuitif, mais vous comprendrez aussi que les armes ne peuvent pas viser les têtes directement donc vous devrez tirer plusieurs fois ( en faisant beaucoup de bruit ) pour n’en tuer qu’un. Le petit point blanc à un mètre du perso n’aide pas du tout et pourrait être améliorer. Pour le début, bon courage !c’est extrêmement répétitif… Le manque de diversité se fait ressentir très rapidement.
Niveau histoire, ce n’est pas du tout mis en avant et je pense être passer totalement à côté.The last Stand : Aftermath est un rogue lite intéressant qui contient de bonnes idées mais qui au final est fade. Des couleurs sombres permanente, des graphismes peu poussés mais une ambiance présente rend le soft terne et peu attirant. Ce qui n’aide pas c’est le manque de traduction française et le système de visée compliqué en début de jeu. Je garderai mon fou rire pour le « F1 » que j’ai pris pour un Easter Egg de la version PC même si ce n’est pas le cas.J’aime J’aime pas
L’ambiance sonore Les graphismes trop fade
Le craft Répétitif rapidement
Les mutations La visée
Histoire ?
Pas de traduction FR
NOTE: 12/20
Posted 25 December, 2021.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
1 person found this review helpful
3.4 hrs on record
Close to the sun c'est l'histoire de Rose, une journaliste qui part retrouver sa soeur Ada à bord de l'Hélios, un gigantesque navire destiné à accueillir l'élite scientifique afin de pouvoir mener des expériences qui entraineront invariablement la mort d'un tas de gens ce qui est bien pratique pour le scénario.

Graphiquement j'ai trouvé le jeu correct, mais c'est surtout sa DA qu'on retiendra, très proche d'un Biocshock, pour ne citer que l'exemple le plus évident. Un doublage français intégrale et de qualité est proposé, ce qui est assez rare pour être souligné.

A part ça je ne vois franchement pas quoi dire de positif, le scénario est globalement prévisible, je n'ai jamais ressenti de peur ou de tension. Le gameplay est lourdingue, ce qui s'ajoute au fait que le jeu est ultra dirigiste,pas de carte,pas d'indices,débrouille toi avec un bateau labyrinthe pour faire durer le jeu plus longtemps ( pas moyen d'ouvrir telle porte avant d'en avoir reçu l'objectif par exemple ). Les courses-poursuites n'ont aucun intérêt vu qu'elles ont lieu à deux à l'heure, en revanche je n'ai pas eu de soucis particulier à les réussir comme mentionné par certains testeurs, ce qui m'inquiétait un peu.
Les énigmes, si on peut parler d'énigme, se résument à faire trois mètres et à mémoriser une série de chiffres avant de revenir sur ses pas.
J'ai terminé le jeu en 3h30, pas à 100% certes, je devais être autour de 40% de collectibles mais ils n'ont aucun intérêt de toute façon. Je lui accorde tout de même la moyenne, je n'ai pas non plus passé un mauvais moment, mais j'aurais probablement oublié l'existence de ce jeu dans deux jours.je ne le recommande pas,
Posted 20 December, 2021.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
No one has rated this review as helpful yet
24.6 hrs on record
Malgré de nombreuses tentatives, la saga Alien semblait condamnée à engendrer des déceptions vidéoludiques. Mais tapi dans l’ombre, The Creative Assembly a décidé d’enrayer ce terrible processus. Mission accomplie ?
Après s’être fait les dents sur l’excellente série historique des Total War, le studio anglais The Creative Assembly a donc été choisi pour s’occuper d’un énième titre basé sur la saga Alien. Malgré un solide CV, il est vrai que ce choix pouvait laisser perplexe. Plus inquiétant encore, les bougres avaient en plus décidé de s’aventurer sur le délicat terrain du survival/horror. Pourtant, après vingt heures de jeu, on comprend que c’est le même souci du détail qui fait d’Alien Isolation un essai réussi.

Le titre se place habilement entre les deux premiers épisodes de la saga, puisqu’il nous permet d’incarner Amanda, la fille d’Ellen Ripley (Incarnée par Sigourney Weaver). Intriguée par le personnage de sa mère, qu’elle n’a jamais connu, Amanda décide d’accepter une mission visant à récupérer la boite noire du Nostromo, où travaillait sa génitrice. Accompagnée d’une équipe réduite, elle se dirige donc vers la station Sevastopol, qui ne communique plus pour une raison inconnue. Évidemment, rien ne va se passer comme prévu. Dès les premières heures, et tout au long de l’aventure, on reste frappé par la justesse de la direction artistique. Le studio a réussi à recréer, et même sublimer l’univers mis en place en 1979 par Ridley Scott. Une vision de la conquête de l’espace qui n’a pas pris une ride, malgré sa pléthore d’écrans cathodiques et de disquettes en tout genre.
Mais à l’inverse d’Aliens : Colonial Marines, la proie ici, c’est bien vous. Et pour cause, il vous sera impossible de tuer le Xenomorphe, même après avoir récupéré un pistolet ou un taser. Seul un lance-flamme fera reculer le monstre, qui reviendra rapidement vous chercher. On comprend vite que les développeurs n’ont pas opté pour une aventure solo agrémentée de jump scares (comme dans Outlast) mais sur un stress constant et justifié. L’occasion de souligner l’exceptionnel travail accompli au niveau de la bande-son. Vous devrez d’ailleurs vite apprendre à différencier le bruit des pas de l’Alien, qu’il déambule dans les couloirs, ou galope dans les conduits d’aération.
Courir, tirer à l’arme à feu ou frapper sur une paroi, et la bête vous entendra, ce qui signifiera souvent la fin de la partie. Heureusement de nombreux endroits permettent de se cacher… un moment. En effet, il arrive que la bête s’éloigne pour revenir rapidement sur ses pas. Caché dans un casier ou sous un bureau, on retient vraiment son souffle. Ainsi, le plus insignifiant des objectifs prend la forme d’une quête haletante. Et comme pour ne rien arranger, vous devrez constamment accorder de précieuses secondes au déverrouillage des portes, qui se fait par le biais de différents mini-jeux. Autant dire qu’il ne faut pas trembler quand l’Alien rôde. Si ce schéma se répète un peu trop durant cette longue aventure (entre 15 et 20 heures), les joueurs qui ne rusheront pas le solo n’y verront pas un gros inconvénient.
Mais Alien : Isolation bute effectivement sur quelques aspects. On pense notamment à une gestion des sauvegardes hasardeuse, qui se fait par le biais de téléphones d’urgence, placés à des endroits plutôt incongrus. Il arrive d’en rencontrer trois d’affilés en quelques minutes, puis de devoir crapahuter trois quarts d’heure la peur au ventre sans pouvoir en trouver. Et la frustration est grande lorsqu’un pan entier d’un chapitre doit être rejoué. On peut également déplorer le manque d’intérêt scénaristique des objectifs demandés. Si on est certes déjà bien occupé à échapper au Xenomorphe, on aurait aimé que le développement de l’histoire d’Amanda (ou de ses collègues, plutôt insipides) soit aussi complexe que celui de sa mère.
Certains joueurs n’apprécieront peut-être pas le cloisonnement imposé par les développeurs, qui bloque des couloirs entiers avec quelques cartons, mais ce choix semble aller de pair avec l’ambiance générale de la saga. Des défauts gênants qui ne sont pourtant pas arrivés à nous faire lâcher le clavier. Et c’est bien là l’essentiel.
À moins d’être totalement hermétique à l’ambiance de la saga, il est bien difficile de ne pas reconnaitre les qualités de cet Alien : Isolation. Beau, angoissant, il offre aux fans un challenge à la hauteur de leur ambition. Véritable hommage au film de Ridley Scott, le soft choisit de distiller un stress constant plutôt que de faire peur à intervalle régulier. Quelques défauts subsistent, mais n’arrivent pas à nous gâcher le plaisir. Un « Die & Ripley » que les amateurs se doivent d’essayer.
-POINTS FORTS
Excellente ambiance, environnements réussis.
Le jeu du chat et de la souris, dans la peau de la souris.
Univers du film de 1979 respecté.
Mise en scène soignée.
Bande-son impeccable.
Alien intelligent et redoutable.

POINTS FAIBLES
Points de sauvegarde trop souvent mal placés.
La progression par l'échec à son paroxysme.
Séquences répétitives, durée de vie artificiellement longue.
BILAN: Jeu d'ambiance par excellence, Alien Isolation reprend fidèlement l'univers du premier film de la série et nous propose un jeu de survie angoissant au possible, dans le bon sens du terme. Il s'avère hélas parfois frustrant en raison de points de sauvegarde mal placés et traîne un peu en longueur à cause de séquences répétitives et d'un scénario un peu trop classique. Les fans de la saga peuvent toutefois se réjouir, voici enfin un jeu qui respecte l'univers d'Alien, avec une forte identité visuelle et sonore, et qui s'avère tout de même fort agréable à jouer si l'on aime les parties de cache-cache angoissantes. Un petit 7/10 pour ses quelques lacunes, que l'on pardonne toutefois aisément tant l'immersion est au rendez-vous.



Posted 18 December, 2021.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
No one has rated this review as helpful yet
11.0 hrs on record
A mon avis,Commençons par le plus fragrant : le gameplay. Evitons déjà tout malentendu, le gameplay fonctionne bien. Il n’est pas frustrant et ne vient pas entraver l’avancée du joueur,il est juste mal pensé. Certaines phases, de poursuite notamment, sont même très efficaces et prenantes. En revanche, il est très peu inspiré. On dirait que les développeurs ont été à contre-courant de leurs idées concernant l’ambiance et l’immersion, tant le gameplay fait très faux et très « jeu vidéo ». Moi qui attache justement bien plus d’importance à l’immersion qu’au gameplay, je ne pensais pas que ça me gênerait, mais finalement c’est le cas. Pourquoi ? Tout simplement parce que ces phases d’infiltration me sortent du jeu et par les narines tellement c'est redondant, tant les gardes sont stupides, les mécaniques basiques et répétitives et les décors bien trop adaptés à de l’infiltration pour être réalistes. Et ce qui me gêne, c’est que ça saute tellement aux yeux que je vois les ficelles du jeu. Je ne suis plus en Gironde au XIVè siècle, je suis dans mon canapé en train de regarder une phase de jeu vidéo lambda. Si les premières heures m’ont fait craindre le pire, la suite évolue heureusement un petit peu, rendant ces phases un peu moins mécaniques. Les développeurs ont aussi pensé à ajouter de l’artisanat pour améliorer notamment les armes à notre disposition. Mais cet élément n’est ni nécessaire, ni intéressant. Son seul effet est d’ajouter une autre brique de gameplay rendant l’ensemble encore plus lambda.
L’autre problème lié au gameplay concerne l’enchaînement entre les phases de jeu qui sont réglées comme du papier à musique,mais oùl'on meurt en se trompant de touches,pas de raccourcis. Histoire-infiltration-poursuite-histoire infiltration-poursuite, etc. On le voit venir à chaque fois, ce qui annihile toute possibilité de surprise. On sait pertinemment ce qui va arriver, ce qui nous enferme dans une sorte de routine qui va à l’encontre des moments d’émerveillement ressentis grâce à cette ambiance très travaillée. Là aussi, ça évolue par la suite, heureusement.
Enfin, le dernier aspect qui m’a gêné est plus secondaire et est lié aux personnages et à leur vraisemblance. C’est toujours un point qui me fâche dans le cinéma ou le jeu vidéo, quand un gamin ressemble plus à un adulte qu’à l’enfant qu’il est censé être. Ici, il y a de vrais efforts de faits pour ne pas tomber dans ce travers, je dois bien l’avouer. Mais finalement, on finit quand même avec un gosse alchimiste de 12 ans et une tueuse professionnelle au sang froid,et des ados peu interessants, passé les traumatismes des premiers meurtres du jeu. Dommage, ça partait pourtant bien.
Ces aspects négatifs ont malheureusement un impact sur la qualité du jeu et sur l’immersion, chose que je n’avais pas imaginé au départ. Comme je l’ai dit au début de cette partie, le gameplay n’est pas raté, il est juste bien trop bancal et répétitif pour être intéressant. Le jeu en est gâché, loin de là mais en ce qui me concerne, c’est ce qui a fait la différence entre une expérience marquante et une expérience bonne mais oubliable.

Conclusion
A Plague Tale Innocence est un jeu bâtard tiraillé entre un travail remarquable sur l’atmosphère et l’immersion, et un gameplay générique au possible tirant la qualité générale vers le bas,où tu dois te battre à toute vitesse pour trouver ce qu'il faut"une pierre-le feu-le sommum-etc...en bref le temps que tu switch,tu meurs! car il affecte l’expérience de jeu dans son ensemble. PTI n’en reste pas moins un bon jeu que je n'ai pas réellement apprécié,sauf pour la bande son et les graphismes,mais qui ne m’a pas passionné, contrairement à ce que j’aurais pensé.
Originale histoire, jeu stressant par manque options défense ,uniquement lance pierre avec pierre et "pouvoirs" ,ridicule ,a fonctionner pas mal jusqu'à chapitre 15 .
Arriver au chapitre 16 dysfonctionnement du lance pierre, p.e option éteindre feu avec indication jaune pour cible ,malgré parfaitement viser besoin de jeter 4 à 5 fois avant que ca fonctionne ,bien sur le temps que ca fonctionne le personnage est mort !
Lance pierre a distance 10 mètres sur YouTube, démo PlayStation ok pas de soucis, sur Xbox one 1 chance sur 3 !
Lorsque j'étais arrivé au point passage "boss" je me suis arrêter a un sauvegarde automatique ,résultat sabotage complet impossible de terminer, après check sur vidéo autre joueurs ,j'ai pu constater que j'avait jouer quasi a la perfection la même façon. Bref j'ai recommencer le chapitre16 entier et de pire en pire ! que des dysfonctionnements au niveau lance pierre, rien qui marcher correctement .
Posted 9 December, 2021. Last edited 9 December, 2021.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
2 people found this review helpful
15.2 hrs on record
Ce jeuau game design pas trop paufiné ,le gameplay: il faut des doigts en acier pour les QTE(ridicule),de plus la maniabilité laisse à désirer,l'IA à la ramasse,enfin et là on touche le fond,qu'est ce que c'est que ce jeu sans sauvegarde manuelle,la sortie du jeu principal fonctionne bien,lorsque vous quittez et redémarrez le jeu,LA SAVE a disparue,celà ne crée pas de fichiers de sauvegardes du tout (impossible à trouver dans les fichiers du jeu),vous l'aurez compris pour ceux qui veulent rester le jeu allumé en continu pour ne pas perdre la progression,ou vivre sur ce jeu en continu,c'est top,un mélange de plusieurs jeux,un cocktail qui ne prend pas contrairement aux deux premiers..je ne le recommande pas sauf si vous aimez les longueurs volontaires de certaines phases,des narrations,un jeu de tir à la dead space sans l'horreur
Posted 14 November, 2019.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
No one has rated this review as helpful yet
86.1 hrs on record (39.2 hrs at review time)
Un Dark sousl like sci-fi très moyen:déjà que lord of fallen a planté,on recidive avec un essai bien copié sur les voisins de game,déjà une: pas de carte d'émmerde toi,le loot on ne comprend que dalle,plus s'explications sur ce qui consomme de l'endurance(exemple),alors au début on farm avec ce que l'on trouve encore faut bien viser les endroits,en pleine action,au secours,bon cet avis n'est que mon avis personnel,mais je n'en ferais pas ma tasse de thé encore moins le 2 à grand renfort de pub,ne mérite pas un bon vieux jeu comme on les aimait,sans fioritures,juste un gameplay que l'on comprenait et bien expliqué,les graphismes ne font pas la qualité d'un jeu,certes c'est beau et alors,c'est tout si ton jeu est naze ,c'est stupide de mettre de l'argent dedans,heureusement on me l'a offert...bon si vous aimez tant mieux,moi j'ai donné et c'est "niet"
Posted 31 October, 2019. Last edited 1 November, 2019.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
2 people found this review helpful
1 person found this review funny
5.5 hrs on record
Bon,et bienvenu dans Risen 2 buggy woogy..
"Il le signe à la pointe de son épée, un Z qui veut dire Z'héros !"


Tous n'est pas tout bleu dans ce monde idyllique. On reprochera des bugs de tout genre, dont certains assez graves pour votre partie. En effet, refusant de suivre un PNJ qui retournait au village, je le laissais rentrer seul au campement. Malheur à moi, ayant besoin de lui un peu plus tard, il en était resté à la quête précédente. Il a donc fallu que je recharge le jeu, sinon ma partie était perdue. Il y en a eu d'autres qui m'ont obligé à utiliser la console pour me débloquer. Espérons que cela ne vous arrivera pas, en attendant un patch correcteur.

Enfin on regrettera la mécanique commerciale de l'éditeur. Deux versions sont proposées dont une qui propose d'emblée deux DLC à la sortie même du jeu : L'ile aux pirates qui vous prendra deux, trois heures à finir et un costume de pirate. Pour les DLC de la boîte, il y a un système de déblocage qui n'est pas simple avec une obligation de passer par un autre site pour aller chercher des codes, pour que l'on nous envoie la clé du DLC utilisable sous steam. Hé oui, dois-je préciser que le jeu, uniquement solo, s'active sous Steam ? On trouvera aussi un autre DLC proposant une aventure dans le temple de l'air. Comment ne pas se sentir floué, devant tant de parcellisation pour un jeu de base offrant trente heures de jeu alors que ses aînées en proposaient des centaines - je parle des Gothic bien entendu.
Ces défauts mis bout à bout rendent le tout très linéaire avec une très forte tentation de toujours suivre la même démarche esquive/contre-attaque/tour pendable. D’autres y ajouteront la technique tour pendable/fuite et d’autres la technique Patty ou un autre membre de l’équipage que vous serez susceptible de rencontrer. Car oui, un jeu de pirate sans équipage, c’est comme une souris sans son clavier. Vous allez avoir votre beau bateau et un équipage dont vous pourrez solliciter les membres individuellement, ils vous apporteront une aide précieuse ou des bonus de caractéristiques lorsqu’ils vous accompagneront. A part ça, ils ne servent pas à grand-chose, ils ne sont pas dignes des compagnons que nous pouvons avoir dans un Dragon Age. C’est pire pour votre bateau qui ne vivra aucune bataille en mer. En fait, parler de Dark Waters, c’est en quelque sorte mentir sur la marchandise. Ce qu’il y a de pirate dans le jeu, c’est l’équipement et l’univers Pirates des Caraïbes avec ses perroquets, ses singes et son vaudou. Même le style est assez proche de la licence cinématographique.Ce Dark Waters ne révolutionne pas vraiment, la licence Risen continue son bonhomme de chemin en tentant quelques nouveautés comme le vaudou, la gestion d’un équipage ou les tours pendables. Si cela vaut le détour, cela ne permet pas en revanche de rendre le jeu vraiment attractif. C’est le scénario et le gameplay dans sa globalité qui devraient jouer ce rôle mais sans succès. Risen 2 s’avère moyen et il y a des choses qui ne pardonnent pas comme le boss de fin que vous vaincrez avec une facilité déconcertante, comme les dialogues dont le doublage anglais n’est pas toujours au top, ce n’est pas forcément la faute aux doubleurs sinon aux dialogues eux-mêmes qui sont régulièrement plats avec quand même, de belles envolées, merci à Steelbeard. Vous ne vous ennuierez pas durant la trentaine d’heures de jeu que compte cette suite (pour tout faire) mais votre vie vidéoludique n’en sera pas non plus bouleversée. Vos rétines résisteront aussi à la qualité graphique du jeu ni bon ni mauvais, capable du meilleur comme du pire, le dernier patch à la date du test a réglé la végétation qui grossissait et rétrécissait selon la distance par rapport à notre personnage. Hormis cela, on se traine encore les bugs de clipping et les textures qui clignotent. Une application réalisée par la communauté atténue ces défauts, permettant à l’environnement du jeu de s’en tirer sans pâlir. Au regard de la qualité globale du jeu, des nouveautés bien spécifiques et compte tenu de la forte probabilité que le studio retrouve la licence Gothic. Risen va probablement s’arrêter là (Dark Waters se termine en bonne et due forme, sans cliffhanger) et Gothic reprendra éventuellement des mécanismes testés par Pirhana Bytes dans leur « labo »
Posted 22 August, 2019.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
4 people found this review helpful
7.2 hrs on record (3.4 hrs at review time)
Early Access Review
Certains vont crier au scandale:encore un jeu de sexe avec nudité,rentrez dans les ordres alors,moi je trouve ce jeu sympa pour les choix que l'on a à faire qui ont un réel impact sur la suite du jeu,en effet draguer une sorcière n'est pas donné à tout le monde,et aussi pour le coté fun,si ça arrivait à votre meilleur pote comment réagiriez vous?bref ce jeu est encore en construction,mais moi j'aime surtout le coté humour et dérision.
Posted 2 July, 2019.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
No one has rated this review as helpful yet
6.0 hrs on record
un jeu un peu vieillot mais assez amusant,des énigmes assez simple,bref pour passer un moment peinard,sans plus.
Posted 19 June, 2019.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
< 1  2  3  4 >
Showing 1-10 of 34 entries