Recent reviews by iktomi sakala

A chacun d'apprécier le "retour" des acteurs du premier film pour re-doubler les personnages de Sonya, Johnny Cage et Raiden. En ce qui me concerne, c'est avec émotion et nostalgie que je redécouvre la voix (aujourd'hui plus cassée que jamais) de Lambert dans son fameux role du dieu blagueur.
Ma seule déception : le jeu est décemment doublé en français de base, ce qui est déjà appréciable ; Christophe est français, mais il n'a apparemment pas été prévu de lui faire également doubler la VF, qui reste celle du jeu d'origine malgré ce pack.
Vous n'entendrez ce bon vieux Raiden qu'avec le jeu en version anglaise. Vous voilà avertis.

Don't get fooled by the name change (lost for another dev team which is doing something a little bit different) :

-=This is Descent 4=-

period.

(just watch this to be convinced : https://playoverload.com/team/)

Le Carmageddon le plus proche du tout premier, au rendu tel que j'aimais à me l'imaginer entre les pixels à l'époque.
<3

Ok after 4 days of unanswered question, I finally took the risk and bought it, now I have my answer (the good part) : This is the exact same musics as we can ear ingame in the Arrange mode (and not some special remixes).
I know it may sounds dumb, but it was not so obvious to me (the term "special" was a little confusing to me) as it exists many and many remixes of all kind here and there, and some of those tracks (stages 1 and 2 Arrange mode) in this albums are my prefered and I don't find many of those remixes really tasty to me.
Glad to finally have those in my car now, just a little bit annoying that I had to buy 2 entire albums to have finally the 2 tracks I was really watching for. (after figuring out that they are just absent from the first album because they are not "original sound track")

Magnifique.
C'est le mot qui me convient le mieux pour exprimer ce que Ori m'évoque. Si les trailers vous ont transporté, sachez que le jeux dans son ensemble est de la même eau.
Décors sublimes aux couleurs et lumières dosées avec finesse, fourmillants de détails et animés d'une vie cohérente et crédible font de cet univers un monde où il fait bon revenir malgré une difficulté parfois un brin surprenante (pour certains passages) compte tenu d'une histoire douce-amère poétique et envoutante (même si elle reste dans une veine écologiste somme toute convenue).
Un jeu réalisé avec passion et qualité sous tous ses aspects, que le sudio Ghibli n'aurait certainement pas renié.

Le film de la franchise Alien que vous préférez est le premier ? Parce-qu'il n'y en a qu'un, qu'on ne sais jamais d'où il sortira ?
Qu'il règne une ambiance de perdition et de solitude même accompagné ?
Que cette ambiance sonore franchement glauque est juste parfaite ?
Que vous appréciez l'univers composé de technologie "low fi" (on se contente d'extrapoler les technologie existantes sans en inventer de nouvelles) ?
Alors vous ne pouvez qu'aimer Alien Isolation. S'il ne devait y avoir qu'un seul jeu tiré de cette franchise à retenir, c'est celui-ci qui a à n'en point douter reçu la qualité de travail et de passion nécessaire pour faire honneur au film de Ridley Scott.

Intéressant mélange entre un Dungeon Crawler, du Tower Defense et un brin de stratégie. Ce jeu marche sur les pas de gauntlet, space hulk et plein d'autres jeux de plateau. Chaque porte vous rapproche autant de la sortie du niveau que de vagues de monstres toujours plus larges, puissantes et vous n'amasserez jamais assez d'énergie (la brume propre à la série Endless) pour maintenir une maitrise parfaite de votre périple.
Les portes symbolisent le temps qui passe, et les salles que vous ne pourrez alimenter, restant ainsi dans le noir et sans possibilité de surveillance autre qu'y laisser un de vos personnages, seront autant de point d'entrée de vos ennemis à chaque nouvelle vague. Afin de combler vos faiblesses, vous pourrez établir des postes de défense (préférablement des intersections) sur des emplacements spécifiques, moyennant quelques constructions de générateurs de ressources (le même trio que dans Endless Space et Endless Legend) sur les points de construction principaux idoines.
Ajoutez à ceci une progression manuelle des montées de niveaux de vos personnages, de la gestion des équipements et du loot, et les synergies que vous ne manquerez pas de découvrir, et vous avez un jeu aux règles simples, mais suffisemment nombreuses pour offrir un jeu dense et complet aux possibilités de gameplay riches et variées.
Saupoudrez d'une mise en scène dévoilant vos personnages (ainsi que les descriptions des objets) sous des jours à la fois mystérieux et humoristiques, vous amenant à rechercher qui est la némésis de qui, et assister, satisfais, à une prise de bec parfois sévère, entre 2 de vos membres, dans l'ascenceur entre 2 étages...
J'ai personnellement l'impression de rejouer à Hired Guns (sur Amiga) en vue de dessus et il ne me manque qu'un mode split screen pour être aux anges.
<3

Si Asteroid avait eu un bambin avec Les Têtes Brûlées, et avait été accouché par l'équipe de Cave (série Donpachi), cela aurait certainement donné ce jeu.
C'est sépia, c'est militaire, c'est Danmaku, et ça sent bon le multicouche musical en fonction des combinaisons Arme-Corps-Propulsion de votre aéronef. (excellent travail de composition du Finlandais Kozilek, auteur des fameuses musiques de Nuclear Throne)
Jeu rapide à prendre en main mais demandant un certain investissement avant d'espérer voir le ciel noir de mitraille, mais à la progression bien pesée et aux déblocages de matos restant malgré tout aisés et accessibles.

Un jeu de plateforme aux allures de survival en arène. En solo ou en multi, c'est un délire de monstres toujours plus nombreux, puissants et rapides, ainsi de que loot sans fin vous amenant à flirter avec l'invincibilité du bout des doigts.
C'est rapide, c'est brutal, c'est léché, c'est simple mais pas simpliste, c'est épuré et beau. (ça m'évoque les décors ébauchés d'Another World à l'époque)
Le multi-joueur donne pleine mesure à la complémentarité des personnages.
Un bon défouloir en pixel art et à la bande son très agréable.

D'aucuns se perdent dans une querelle de clochers afin de lui trouver une case bien définie où le ranger (RPG, Dungeon Crawler, Rogue-Like, Hack&Slash...).
C'est sombre, c'est gothique, c'est hard core, c'est impitoyable, c'est insane.
La voix off magnifie la moindre petite expédition d'une note dramatique conférant à chaque réussite un sentiment de fierté plutôt rare dans les jeux vidéos... à moins que l'on sombre dans le désarroi le plus profond quand ça tourne mal (et ça tournera mal), en voyant ses personnages sombrer dans la folie tour à tour, et périr sans plus combattre, ou rentrer dans un état déplorable au village, et y subir moults soins et repos avant d'espérer repartir à l'aventure.
Rarement prise de risque aura été aussi gratifiante... et punitive. (Vous pouviez encore fuire avant de risquer le tout pour le tout... Vous pouviez)
Et cette prise de risque ne tiendra qu'à vous grâce à une habile et simple gestion de torche permettant de peser la balance difficulté/butin, ainsi que la possibilité de fuire à tout moment entre 2 embuscades (moyennant une forte baisse de moral)
Ce jeu est déconseillé aux allergiques à certains mécanismes de gameplay comme ceux de Blood Bowl : l'aspect aléatoir des situations et des "jets de dés". (même si tout comme BB, l'on peut faire plier le hasard)