Raziulus 最近的评测

Ce jeux est une véritable purge du début à la fin.
Le plaisir de la nouveauté s'estompe très rapidement au fur et à mesure des missions répétitives (3 types de missions), et de toutes les mécaniques de difficultés ridicules qui s'enchaînent et se suivent sans aucunes logiques ou jouabilité.

En parlant de difficulté, le seul élément modifié entre une partie Facile et une partie en Difficile est la cadence à laquelle l'ennemi évolue : en Facile il est légèrement plus rapide que nous, en Difficile il évolue tout les 2 affrontements ou minimum toutes les 2 semaines de jeu.

Ne cherchez pas de stratégie dans les affrontements, l'ennemi va soit courir au corps à corps, soit se cacher et vider une infinité de munitions. Détail important : vos munitions sont limitées, pas les sienne =)
Les véhicules sont d’ailleurs d'une totale inutilité en début de partie et leurs coût mène systématiquement à une partie perdue, mais ils deviennent presque indispensable en milieu de partie pour ne pas se faire "rouler dessus" par les blindés ennemis.

En résumé: L'idée sur le papier était intéressante, l'histoire était prometteuse, mais la réalisation est totalement bâclée. Passez juste votre chemin.

Quoique l'on en pense, Fallout 4 reste dans la lignée de ses prédécesseurs, en tentant d'innover sur des points qui manquaient cruellement jusqu'à maintenant.
En plus de mettre à l'épreuve votre sens du jugement et de la survie, vous devrez maintenant développer un sens pratique de l'organisation de vos campements, que ce soit lors de leurs construction, ou de leurs gestion.

Comme toujours, vous êtes un survivant de l'apocalypse nucléaire dû à la 3ème guerre mondiale et sortez fraîchement d'un Abri Vault-Tec pour vous dégourdir les jambes.
Après un tutoriel vous guidant jusqu'à votre 1er bol d'air toxique, vous voici lâché dans l'immensité du monde de Fallout 4, avec pour seul compagnon votre 9mm et quelques cartouches.
Le système de compétence S.P.E.C.I.A.L est toujours de rigueur, de même que le SVAV, et l'interface de jeu directement sur le Pip-Boy de votre personnage.


Dans cet opus, la nouveauté principale consiste à vous laisser la main pour personnaliser tout les campements (abandonnés ou non) que vous trouverez, et surtout à les développer et les défendre.
Au prix de nombreuses ressources récoltables dans les ruines alentours, ou suite au recyclage des équipements récupérés, vous aurez la possibilité de construire des murs, des tourelles, des marchands, des récolteurs d'eau purifiés, des générateurs, des plantations, etc ... bref tout ce dont aurons besoins les habitants de vos campements pour apporter un peu de vie dans cette contrée irradiée.

L'idée est réellement bonne et attrayante dès sa prise en main, mais le manque de finition dans son implémentation se ressent presque immédiatement.
Il est impossible de détruire/recycler les ruines et éléments de décor majeurs déjà présents sur vos terrains. Cela va d'une maison en bois totalement en ruine, à un semi-remorque accidenté en plein milieu du terrain, sans oublier un cratère d'impact laissant votre terrain digne d'un circuit de moto-cross.
Toutes les constructions sont pensées pour être posées sur un sol parfaitement plat, ce qui n'est jamais le cas, et pour s'emboîter dans un ordre précis avec des éléments du même type.
Autant dire que l'immersion prend déjà un coup, quand vous passez 2h à essayer de placer péniblement une palissade dans cette ouverte laissant vos gens totalement à découvert.

Sur ce point, les DLC essaient de rattraper le coup, en proposant plus d'éléments de construction et de décoration (Far Harbor, Nuka-World, Wasteland Workshop, Contraption Workshop) obtenu en avançant dans les histoires associées, et quelques zones dédiées et aplanies (Vault-Tec Workshop, Automatron). Mais la rigidité du système se ressent toujours plus fortement lorsque vos ambitions se heurteront à un plafond trop bas, ou à un dénivelé différent de celui des escaliers préfabriqués.


Fidèle à l'esprit Fallout, tout vos choix auront des conséquences plus ou moins fortes sur l'avancée de l'histoire.
Que ce soit en choisissant avec qui vous allier, ou qui vous sauverez ou laisserez en pâture aux goules, vous vous dirigerez progressivement vers l'une des 4 fins majeurs, apportant avec elle son lot de conséquences secondaires.

Cependant, malgré le changement de nom des factions et des ennemis, l'esprit de chacune d'entre-elles restent toujours le même depuis Fallout 3. Rien de bien transcendant, ni de dérangeant mais un soupçon de renouveau et d'originalité pourrait avoir eu un effet intéressant.

La nouvelle difficulté implémentée (appelée Survie) viendra également pimenter l'expérience des plus masochistes, en interdisant sa désactivation à souhait comme il était possible de le faire dans New Vegas.
Fini l'enchaînement des combats en mangeant un steak de Brahmine entre 2 balles, ou le rechargement de sauvegardes en série, tout les dégâts infligés et subit sont augmentés, et faim/soif/sommeil vont réduire drastiquement vos statistiques si vous n'en prenez pas soin. Avis aux amateurs !


Le point le plus dommageable est de retrouver encore une fois le même moteur graphique, avec les mêmes bugs d'affichage, les même problèmes de stabilité, les même temps de chargement décourageant, les même détourages invisibles et invincible des objets, et les même problèmes de collision depuis 2008.

L'IA elle aussi mériterait un bon coup de balai. Les ennemis et les alliés restent soit sur place, soit se foncent dessus 95% du temps et quoique vous fassiez. Les PNJ sont presque tout le temps bloqués les uns dans les autres, ou enfoncés dans le sol.

L'interface reste assez efficace en dehors du Pip-Boy, mais celui-ci est toujours autant impropre à l'utilisation. Défiler une longue liste d'équipements, ou de composants, ou d'indices de quêtes est extrêmement désagréable à cause de la lenteur de ces menus, causant même des latences sur du curseur de la souris sans aucunes raisons apparentes.


Beaucoup de critiques pour cet opus, mais il n'en reste pas moins très agréable à jouer.
En prenant en compte l'age du moteur graphique, il est facile de mettre de coté une bonne partie des points négatifs puisqu'ils en découlent directement. Espérons que le prochain opus en soit enfin débarrassés !
Le terrain de jeu est réellement plaisant et je ne peux que vous conseiller de prendre directement la version GOTY (en soldes) pour en profiter pleinement.
Pour les plus retords ou en quête de compléments, la communauté de moddeurs est comme toujours très présente et satisfera surement les esprits les plus fertiles.

Malgré le poids des années, Terraria a su continuer librement sa route et renouveller son concept sans épuiser ses nombreux fans.

Cette dernière mise-à-jour majeure apporte une touche finale aux points négatifs qu'il restaient, tout en renouvelant l'expérience de jeu par une refonte des objets les moins utilisés et de multiples ajouts esthétiques et de collectibles.

Si vous hésitez encore à sauter le pas, c'est le moment de succomber !

Comme pour ses cousins, préparez-vous à passer plus de 100h à développer votre commerce, votre ville, vos compétences et vos relations sociales dans cette simulation de vie post apocalyptique.


Oui exactement, 330ans après une guerre apocalyptique ayant tout détruit, vous incarnez un nouveau "constructeur" qui arrive fraîchement dans la cité-état de Portia, l'une des villes de l'Alliance des Cités libres, pour reprendre l'atelier de votre père.
Vous débutez avec un atelier en ruine sur un terrain en friche et quelques plans de constructions griffonnés sur des restes de tissus.


Le but principal mis en avant est le classement des ateliers de Portia. Chaque commande effectuée dans les temps apporte un certain nombre de points de réputation et un classement annuel est affiché dans la Guilde du commerce, avec des récompenses mensuelles.
Pour cela, la Guilde du commerce propose quotidiennement des contrats publiques, et vous pourrez en effectuer un au choix, tout comme votre concurrence (premier arrivé = premier servi). Le reste dépendra de vos relations sociales avec les autres habitants, qui pourront venir vous proposez diverses commandes supplémentaires vous rapportant donc plus de points. Attention tout de même aux commandes hors de votre niveau de fabrication qui vous feront perdre des points de réputation et de relation avec la personne concernée une fois échouées.

Autant dire que vous allez devoir farmer des mètres cubes de bois, de pierres et de minerais pour constituer votre stock, et transformer tout cela pour fabriquer d'autres machines, ressources ou structures selon les besoins de la ville.
Amateurs de chaînes de fabrications et de logistique, bienvenu !

Pour vous limitez dans ce farming intensif, chacune de vos actions coûtent des points de fortitude qui se régénèrent en dormant, ou en consommant de la nourriture ou des boissons. Comme souvent dans le genre, dormir fait également passer à la journée suivante, donc il va falloir planifier sa journée pour ne pas être à court à 12h.


L'autre aspect majeur du genre est la gestion des relations sociales. Vous avez tout à gagner à être amis avec vos voisins et clients pour obtenir le plus d'avantages possible. Ici il est même question de plusieurs niveau de récompenses selon vos affinités. Un ami peu, par exemple, avoir une chance de vous offrir un cadeau chaque matin. Un autre vous accordera une réduction sur son magasin, etc ... et ces niveaux s'accumulent avec les suivants quand vos relations se développent.


La patte graphique est assez agréable, les couleurs sont bien agencées et les environnements et saisons reflètent fidèlement ce qu'ils représentent. Cependant, certains environnement sont bien moins travaillés que d'autre. Je pense surtout au désert qui est presque vide, et aux donjons où la taille des objets est surtout gênante : une planche dans une mine ou un tuyau dans un égout fait la moitié de la hauteur du personnage et oblige à sauter en permanence pour avancer !?


Le première impression qui pourrait survenir est la peur de la répétition ou une mauvaise copie des titres du genre mais il n'en ai rien. My Time at Portia a su sortir son épingle du jeu en développant son propre style dans un univers original et attachant. On se prend facilement à la compétition entre les ateliers et développer le sien ajoute une dimension qui plaira à coup sûr aux adeptes de l'optimisation et des RPG.
Il apparaît tout de même que malgré un contenu déjà assez conséquent, on remarque assez rapidement que le développement à été très focalisé sur la ville et les personnages, au détriment des autres zones et villes. Je ne peux m'empêcher de penser que de futurs mises-à-jour viendront agrémenter tout cela, le dernier ajout au moment ou j'écris cela datant d'un mois.

• Développement de l'atelier et de la ville
  
• Relations sociales travaillées
  
• Diversité des activités
  
• Environnement charmant et relaxant

• Traduction française perfectible (textes en anglais, traduction incorrect)
  
• Développement des environnements très inégal
  
• Déplacements difficiles dans certaines zones

SI Castlevania avait eu sa période gothique, voici ce qu'est Blasphemous : un étrange mélange d'ambiances religieuses, de magnifiques décors horrifiques et d'une difficulté constante sans répit.

L'histoire est volontairement obscure, et rare sont les passages qui éclaire ce qu'il se passe réellement dans ce pays.
L'évolution du personnage se fait au travers d'une expiation totales des figures religieuses dont les noms sont assez évocateurs, par un arbre de compétence simple mais efficace qu'il est possible de débloquer entièrement dès la moitié de la partie pour les plus persévérants ou curieux, et de divers objets religieux disséminés et cachés à travers la map.

Le level design laisse place à une exploration libre, limitée par votre seule capacité à faire face aux ennemis et dangers de la zone.
J'insiste sur la persévérance, rare sont les points de téléportation ce qui vous obligera à faire de multiple allers retours dans des zones ou certains dangers sont permanents, et ne pardonneront pas la moindre erreur.

La durée de vie est plus que correcte, 25h pour un 100%, 2 fins possible, laissant la possibilité à un 2nd run plus rapide pour découvrir la 2nd fin et tenter les succès de speedrun. A recommander absolument.

Ne vous attendez pas à un XCOM tactique au tour par tour, nous sommes ici en présence d'un FPS tactique comme pouvait l'être Mass Effect.
L'histoire promettait pourtant un concept intéressant. Vous jouer un agent de terrain d'une organisation gouvernementale secrète qui doit enquêter sur des attaques aliens aux USA, et participes aux prémices des bases XCOM que l'ont rencontrent dans les autres opus de la série !
Mais tout se gâte dès la 1ère mission : vous apprendrez malheureusement que votre plus grand ennemi est bien la réalisation du jeu elle-même.
Tout est conçu pour l'utilisation d'une manette, même s'il est possible de jouer avec un combo clavier/souris, l'interface n'est clairement pas pensée pour être utilisée de cette manière.


Vous souhaitez savoir combien de cartouches il vous reste avant d'aller ramasser cet unique pack de munitions disponibles pour cet affrontement ? Par malchance, l'interface à décidée de disparaître jusqu'à la fin de l'affrontement.
Vous souhaitez lancer une compétence de zone ? Vous devrez défiler toute la map depuis votre personnage pour placer cette zone à la manière console, et avec une vue plongeante diagonale assez proche sur celle-ci. Autant dire que vous ne voyez pas vraiment ce que vous touchez, surtout que l'interface tactique ne met pas le jeu en pause, mais en vitesse réduite durant laquelle tout l'affrontement continu ...


La difficulté est toujours la bienvenue dans ce type de jeu et j'y trouve toujours un défi. Cependant, ici la difficulté revient uniquement à devoir faire de la microgestion de votre équipe en permanence, tout en gérant votre personnage qui lui l'est à la 3ème personne. Il est impossible de donner un ordre "Rester en position" et vous devrez vous contenter de "Déplacement", "Tir", "Compétences X", etc ..., en tenant compte que ces équipiers peuvent bouger pour éviter un danger, ou rester flanquer en essayant de toucher un autre ennemis devant eux jusqu'à ce que mort s'en suive.
Du coté de l'IA des ennemis, c'est identique. Ils changent constamment de couverture, jetent des grenades à tout va si vous êtes vous-même à couvert, et vide des quantités astronomiques de munitions sur vos positions, parce que oui détail important : seul VOS cartouches sont limitées, celle de vos équipiers et ennemis ne le sont pas !


Au final, les graphismes ne sont pas si mauvais, l'histoire est originale sur le papier mais inexistante in-game (Oh une attaque ! ; Nous n'avons pas d'armes ! ; Nous avons des armes ! ; Gagné !)
Pensez à profiter des multiples bugs de clignotements pour prendre une petite pause disco entre les combats et dialogues insipides, vous le méritez.

C'est d'ailleurs difficile de voir qu'il est encore à 20€, alors que je ne recommanderai pas de l'acheter au delà de 5€ avec DLC ...


Chacun à son avis sur les DLC, cependant il est facile de replacer ceux-là d'où ils ont été extrait.
Au début de l'histoire, vous récupérerez un magnifique bracelet que l'on peux voir dans les images de présentation. Vous voyez le magnifique pistolet plasma qui va avec ? C'est 0,99€ en plus pour one shot presque tout les ennemis en début de partie.
Votre collègue vous racontera le nettoyage qu'il faisait avant l'attaque des aliens. C'est 4.49€ en plus pour nettoyer des arènes.
Vous souhaitez comprendre d'où viennent tout ces transmissions dont vous parle l'agent de communication ? C'est 2,99€ en plus pour aller voir.

A première vue, on pourrait penser que ce n'est qu'un FPS retro nerveux qui mettra vos réflexes et votre épilepsie à rude épreuve, laissant vos yeux sécher ouvert pour ne pas manquer le prochain projectile qui arrivera.
Ne vous fiez pas à vos doutes, c'est bien le cas.

Que vous soyez nostalgique de l'un de ses grands frères (Doom, Hexen, Woflenstein, Duke Nukem, ... ) d'il y a 25 ans, ou que vous soyez curieux de vous tester vos réflexes bien acquis, ce jeux est pour vous.

La difficulté est disponible et vous accordera d'une promenade de santé à un mode hardcore à base de permadeath, effaçant littéralement votre sauvegarde à la moindre mort.

Les armes sont les classiques du genre (pistolet, fusil à pompe, SMG, lance roquettes, etc ...) mais avec une la possibilité de toutes les améliorer parmi 2 modèles disponibles une seule fois par partie. En complément, votre Warlock peut utiliser un panel de 8 sorts qui vont d'un simple éclairage pour voir mieux, à l'appel de la foudre ou du blizzard pour écraser vos ennemis.

Un changement majeur par rapport à ses ancêtres et que votre Warlock gagne de l'expérience en repeignant les murs de démons ou en trouvant des trésors (secrets ou pas) et obtiendra au choix, des bonus de vie, de dégats au corps à corps, de mana ou simplement plus de munitions dans ses poches. Certaines combinaisons de statistiques offrent même la possibilité de débloquer des bonus passifs qui sont disponibles tout les 5 niveaux.

Les environnements sont assez petit mais labyrinthique et ce n'est pas déplaisant pour autant. Il est possible de terminer un tableauen moins d'une minute si vous savez quoi faire, ou en trouvant un raccourcis, mais attention, un niveau est composé de 2 à 5 tableaux successifs avant de retourner à l'atelier du Warlock qui fait office de zone de sauvegarde.

Pour conclure, en plus d'une bande-son travaillée, ce mélange des FPS des années 90 est une vrai réussite. La durée de vie est plus que correcte compte-tenu du prix bas, du défi proposé pour les masochistes et les adeptes du scoring. L'aspect RPG renforce la rejouabilité en proposant d'adopter divers style de jeu.

Points positifs :
- Démo disponible / Prix bas
- Un bon défouloir
- Aspects RPG intéressant
- Bande son

Points négatifs :
- Difficulté inégale entre les niveaux

Une agréable surprise, longtemps laissée de coté par manque de temps, je ne regrette par de m'y être enfin plongé.

Si Dark Soul n'a pas eu raison de votre détermination à mourir en boucle pour trouver une bonne stratégie et vaincre, ou si vous êtes encore sain d'esprit, signez ici pour récupérer votre exosquelette. Bienvenue chez CREO !

Les combats sont prenants mais peuvent rapidement devenir ingérables du fait des environnements souvent étroits.
Le bon point étant que je n'en ai pas rencontrés qui soient injustes ou excessivement difficiles, il est même possible de démembrer un boss avant d'avoir parcouru toutes ses phases pour remporter le combat, parce que oui c'est ici l'intérêt des combats, vous devez choisir comme démembrer vos adversaires pour récupérer des plans d'artisanats et des composants pour vos armes et amures.

Les différents types d'armes sont assez fidèles à leurs descriptions, et leurs caractéristiques propres changent réellement l'issue que prend un affrontement. Une arme lourde le fera bien ressentir en combat et pourra déstabiliser l'ennemis alors qu'une arme légère pourra interrompre facilement ce dernier pour ne pas lui laisser le temps de vous toucher, mais ne pourra parer que peu de dégâts.

Les environnements sont de types industriels futuristes et, comme c'est coutume dans le genre, évolueront au fur et à mesure de l'histoire. Partant de cela, vous n'avez plus qu'à explorer à la recherche d'équipements cachés, de raccourcis ou d'ennemis à découper, armé de votre fidèle lampe de poche intégré, parce que oui tout est sombre, très sombre et les ennemis aiment se cache au détour d'un couloir de maintenance pour vous faire tomber dans l'un des nombreux précipices, ou vous tuer simplement d'un coup sans dire bonjour.

Pour ce qui est du négatif, on évolue avec un personnage assez rigide, il lui est impossible de sauter ou de se baisser. Seul un saut en course pour franchir des obstacles ou des esquives statiques en sautant ou se baissant sont possibles. L'histoire est un peu difficile à suivre rendant la prise de décision opportuniste.

En conclusion, c'est à un très bon titre à essayer, d'autant qu'une suite est déjà sortie.

Point positifs :
- Système de démembrement
- Difficulté honnête
- Versatilité du style de jeu
- Durée de vie (30h) et NewGame+ automatique avec divers changements sur les ennemis et les environnements

Point négatifs :
- Rigidité du personnage
- Actions monotâches
- Caméra dynamique parfois gênante

Soyons honnête, ce n'est pas le meilleur jeux du genre.

La prise en main du personnage est difficile, celui-ci est pataud, lent et nécessite même un temps d'échauffement pour effectuer la plupart des actions, à commencer par courir pour laquelle il marche sans raisons avant de commencer sa course.

L'utilisation des armes et outils est rendue approximative par un système d'actions dont l'animation ne garantie par l'exécution de celle-ci. Les combats sont du coup assez brouillons mais particulièrement simples. Il est, par exemple, possible de parer au bouclier mais la lenteur de l'animation ne permet pas de bloquer une attaque particulière, à la place on se retrouve à attaquer frénétiquement pour terminer le combat avant de ne plus avoir de points de santé, n'ayant d'autres choix. Les bots sont d'ailleurs anecdotiques, en dehors de quelques attaques sur votre forteresse rapidement maîtrisées par les 2 tours de celle-ci (ce qui sera également votre cas si vous les attaquez), il n'est pas possible d'échanger ou de commercer.

La collecte de ressources est aléatoire et fastidieuse, un animal peu lâcher toutes ses ressources x3 d'un coup, ou rien sans autre forme de procès. Même tarif pour le minage pour lequel un étage entier miné peu vous rapporter 1 charbon avec de la chance.

Alors pourquoi le recommander malgré tout ?
Pour son lot de bonnes idées prometteuses avant tout.

Commençons par le plus évident, la DA est vraiment bonne. L'ambiance sonore est adaptée au cadre nordique, les graphismes sont agréables et fins, l'interface est efficace. Chaque environnement extérieur reflète adéquatement le thème qui lui est attribué, on se sent bien arrivé dans un monde nordique. La bande son est agréable et efficacement indicatrice des événements en cours, mais devient rapidement répétitive.

Le système d'artisanat est tout de même bien pensé. On récolte des ressources de différents tiers disponibles de plusieurs manières (plantes, mines, animaux, ennemis, donjons, etc ...) pour améliorer les ateliers de sa forteresse et fabriquer armes/outils/potions qui ont tous une utilité.

Le reste va consister à farmer chaque jour les points de ressources pour obtenir enfin ces 3 peaux de bisons et améliorer votre atelier, progresser dans l'amélioration de votre équipement et finir tout les boss des donjons et de la mine pour ouvrir le portail de fin. Et malheureusement c'est tout ... !

Pour résumer, un concept intéressant apportant une touche de nouveauté dans les jeux du genre, mais habillement gâché par une exploitation trop poussée des animations de personnage. A recommander pour qui souhaite un jeu court et tranquille de farm
Payer 20€ pour cela me semble prohibitif, préférez une promotion autour de 5€, éventuellement avec les DLC "Easy mode" et "Tower Defense".

Beaucoup de nostalgie dans ce rappel des jeux d'arcade des année 80.
L'histoire du garçon n'est pas sans rappeler l'esprit retro des salles d'arcades, qui apporte un coté évasif dans une ambiance pixel art d'époque.
Le jeux est assez court actuellement, entre 1 et 2h selon votre agilité dans ces mini game, mais cela semble être la 1ère partie de l'histoire. La rejouabilité est faible, l'intérêt étant uniquement de parcourir parfaitement les niveaux.
A surveiller si le prix demandé (10€) sera le même pour la 2ème partie ou si celle-ci sera incluse ultérieurement.